Née du désir de dénoncer un acte par la prise de conscience et de risque, la performance dansée « Vengeance Urbaine » est un risque de dialogue entre le Texte, la danse, la performance et la scénographie qui s'affrontent sur un ring.
"Sur le ring de ma mémoire se cogne la Paix contre la Guerre". Cette création a pour but d’atteindre la cible interne des conflits entre ma merde et moi. Dénoncer le problème que cause la frustration, la peur, les bruits aux sons des armes et l’envie de dire : Trop c’est trop. "Vengeance urbaine" est aussi un moyen de montrer le divorce entre la culture et la politique, dans un face à face sur un ring de boxe où se passe le combat de ma mémoire.
Cette création s’accentue sur le problème de l’Afrique et ses différentes guerres, sur la haine des jeunes qui ont marre d’être des éléments et marionnettes de la société. Pousser par un cri de rage et de révolte, cette création se veut un modèle de constructeur de la nation artistique, de la société en hypnose, paralysée par un système injuste.
A travers un corps en plein combat de libération mentale, le mouvement se dessine sur le ring par l’énergie vitale puisée du Krump (Danse Hip-hop).
La rage, la vérité, enfouie en nous, qui touche le secteur urbain en rapport au secteur politique à partie d’une performance dansée et chorégraphiée.
Le mouvement est dans un premier tableau, composé du Krump déconstruit, pour y puiser l’énergie et dégager sur la surface, la confrontation entre la paix et la guerre.
Dans le deuxième Tableau, le mouvement épuisé se transforme dans un état de corps à l’appel à l’urgence. Par la suite, la danse se construit à partir des déconstructions de ces mouvements composés de la danse Hip-hop.
Dans la même vision chorégraphique, le texte est un élément qui contribue à la composition chorégraphique et à la rythmique du spectacle.
"Vengeance urbaine" est une performance dansée de Snake.
Née du désir de dénoncer un acte par la prise de conscience et de risque, la performance dansée « Vengeance Urbaine » est un risque de dialogue entre le Texte, la danse, la performance et la scénographie qui s'affrontent sur un ring.
"Sur le ring de ma mémoire se cogne la Paix contre la Guerre".
Cette création a pour but d’atteindre la cible interne des conflits entre ma merde et moi. Dénoncer le problème que cause la frustration, la peur, les bruits aux sons des armes et l’envie de dire : Trop c’est trop. "Vengeance urbaine" est aussi un moyen de montrer le divorce entre la culture et la politique, dans un face à face sur un ring de boxe où se passe le combat de ma mémoire.
Cette création s’accentue sur le problème de l’Afrique et ses différentes guerres, sur la haine des jeunes qui ont marre d’être des éléments et marionnettes de la société. Pousser par un cri de rage et de révolte, cette création se veut un modèle de constructeur de la nation artistique, de la société en hypnose, paralysée par un système injuste.
A travers un corps en plein combat de libération mentale, le mouvement se dessine sur le ring par l’énergie vitale puisée du Krump (Danse Hip-hop).
La rage, la vérité, enfouie en nous, qui touche le secteur urbain en rapport au secteur politique à partie d’une performance dansée et chorégraphiée.
Le mouvement est dans un premier tableau, composé du Krump déconstruit, pour y puiser l’énergie et dégager sur la surface, la confrontation entre la paix et la guerre.
Dans le deuxième Tableau, le mouvement épuisé se transforme dans un état de corps à l’appel à l’urgence. Par la suite, la danse se construit à partir des déconstructions de ces mouvements composés de la danse Hip-hop.
Dans la même vision chorégraphique, le texte est un élément qui contribue à la composition chorégraphique et à la rythmique du spectacle.